Contact Presse : Bérangère Boucher  06 18 94 28 64 – hello.nomikai@gmail.com

Bérangère Boucher prépare en quelques heures, plusieurs centaines de repas, selon les arrivages. Cette trentenaire tient un restaurant japonais au centre de Paris, désormais fermé. Elle n’a donc pas hésité à se remettre derrière les fourneaux  pour aider les soignants. 

RTL 13 Avril 2020

https://www.rtl.fr/

Koi Mai 2020

Dans le cadre d’une initiative du réseau Ecotable, la cheffe Bérangère Boucher aide à préparer 500 repas gratuits par jour. 

 [Photo :  Constance Decorde. Hans Lucas ]

Libération, 10 avril 2020

https://www.liberation.fr

Pour Bérangère Boucher, cheffe du restaurant Nomikaï labellisé Ecotable, et membre d’une famille évoluant dans le milieu médical, participer à cette initiative était une évidence. « Je sais que travailler dans ce milieu est difficile habituellement, donc, aujourd’hui, encore plus. J’avais envie d’être sur le pont, je ne me voyais pas rester chez moi, ce n’était pas possible.

[Photo : Mika Cotellon ]

Omnivore, 10 avril 2020

https://www.omnivore.com/

“Pour Bérangère Boucher, aux manettes du Nomikaï, un « izakaya à la française » bio et zéro déchet à Paris, ces élans de solidarité s’inscrivent « dans la continuité des valeurs portées par le restaurant ». Celui-ci fait partie de la communauté Écotable, un label de restauration durable qui a lancé une campagne de crowdfunding pour garantir la livraison de 500 repas quotidiens aux soignants. Au 8 avril, 10 000 plats avaient déjà été livrés dans des conditions garantissant la sécurité des coursiers (gants, masques et gel hydroalcoolique). « J’ai été obligée de fermer le restaurant, ajoute la cheffe, donc je suis contente de pouvoir continuer à cuisiner, mais aussi de faire vivre les producteurs d’Écotable ».

[Photo : Taku Sekine]

Koï 10 Avril 2020

https://www.koimagazine.fr/

Koi Mai 2020

Dej’ délicieusement foufou au Nomikaï

Entre la Gare de Lyon et le Marché d’Aligre a encore éclot une table pleine de charme. Nomikaï a ouvert il y a une grosse année, petite salle, toute petite cuisine, où la chef Bérangère et son commis réalisent pourtant de « petites » merveilles (y a aussi une terrasse sympa). (…)

François Blanc 25 avril 2019

http://omnomnom.fr/

Bérangère Boucher n’est pas le genre de femmes à s’attacher aux concepts : elle aime le Japon ? Elle a créé un Izakaya, table à la japonaise où l’on partage des petites assiettes. Tant pis si l’on n’y trouve ni makis ni sushis et si l’on n’y sert pas de saké mais du vin nature ! Car Nomikai (action de se retrouver pour boire des verres entre collègues au Japon) ne ressemble à rien de ce que l’on connait déjà. Il est singulier comme la cuisine de cette cheffe, reconvertie après une carrière dans l’édition.

Ici, on choisit donc parmi une douzaine de plats frais qui changent tout le temps en fonction des envies de Bérangère et des produits qu’elle reçoit de ses producteurs. Ces plats ont tout de même souvent des accents asiatiques, comme cet excellent saumon gravlax et sa sauce un peu pimentée à base de Gochujang, pâte de piment coréen ou ce tataki de boeuf. Il y a aussi des classiques, adorés des clients, comme les coquillettes bio cuites à la crème d’ail noir. (…)

Zazie Tavitian 21 Mars 2019

https://ecotable.fr/

Encore une preuve que les femmes chefs de talent ne manquent pas à Paris : Bérangère Bee, ancienne éditrice passée par les cuisines de Brice Morvant, vient d’inaugurer discrètement cette salle sobre d’une douzaine de couverts, décorée d’un grand dessin manga et dotée d’un chouette comptoir. Malgré le nom japonais de l’établissement (qui se réfère à la tradition des soirées arrosées entre collègues), l’assiette est éclectique et cache bien son jeu, avec une imbattable formule déjeuner. Le gravlax de saumon Label rouge, tranché épais, est délicieusement moelleux sur son originale crème d’edamame ; le tajine de veau fermier de Normandie est particulièrement savoureux ; tandis que le pain perdu au sirop d’érable et aux dés de kiwi signale qu’ici rien ne se perd — c’est la baguette de la veille qui est ainsi transformée, et c’est tant mieux pour l’addition ! (…)

Estérelle Payany

Télérama